À partir du 24 Mars 2026

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On se souvient d’Hugues Duchêne avec Je m’en vais mais l’État demeure. Le brillant metteur en scène revient en traitant de la nuit du 4 août, où fut votée en 1789 l’abolition des privilèges mettant fin aux pouvoirs de la noblesse.

Il fait écho à notre atmosphère de fin d’époque, dans un contexte d’explosion des inégalités.
Dans ce (presque) seul en scène, dans un espace en quadri-frontal qui, à la manière d’un Pommerat, transforme le public en assemblée parlementaire, Maxime Pambet arpente les travées, endossant d’un simple changement de voix ou de posture, les paroles de quelques-uns des députés. Le duc de Noailles, qui donne le coup d’envoi, est vite rejoint par les évêques, les paysans ou les commerçants. Discours après discours, des plus puissants aux moins nantis, ils détricotent le maillage économique et législatif, excités par l’effervescence des grands soirs : « l’Ancien Régime » se saborde en beauté.
C’est jouissif et instructif, pédagogique et souvent drôle. Passionnant !

Date

Du 24 Mars au 25 Mars
Lundi Fermé
Mardi Fermé
Mercredi Ouvre à 20h30
Jeudi Ouvre à 19h
Vendredi Fermé
Samedi Fermé
Dimanche Fermé

Tarifs

Autre tarif 7 € - 29 €

Situation

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